L’Honorable Abel Gashatsi, 2e Vice-Président de l’Assemblée nationale interpelle la population de la Province Muramvya à faire sien les travaux de développement communautaire et les considérés comme leur moteur de développement sans se pencher à leurs différentes appartenances politiques surtout que ce marché sera bénéfique pour tous. Il exhorte ainsi cette population au strict respect de leurs dirigeants dans tous, et répondre massivement à leurs appels chaque fois que de besoin.

Le samedi 10 Février 2024, L’honorable Abel Gashatsi, Deuxième Vice-Président de l’Assemblée nationale s’était joint à la population de la Colline Mubira, en Zone Shombo de la Commune et Province Muramvya lors des travaux de développement communautaire qui consistaient au bétonnage du chaînage inférieur du marché et la collecte du moellon pour la continuité des activités de construction en cours de cette infrastructure sur cette colline.
Aussi, a-t-il prôné, lors de son allocution, de songer à limiter les naissances tout en mettant en exergue la surpopulation comme facteur négatif au développement.

Il a saisi l’occasion de demander aux élèves d’étudier avec assiduité pour que le pays ait des successeurs dans le temps à venir en leur rappelant que ces derniers sont communément appelés Burundi bw’ejo.

La Province Muramvya étant considérée comme l’une des provinces dont sa population est renommée comme première dans le vol de bétail, l’Honorable Abel Gashatsi a conseillé à cette dernière d’éradiquer ce fléau et vaquer aux activités bénéfiques pour augmenter la production durant cette saison culturale B qui approche. Et de plaider qu’il n’y’ait plus des champs inexploités dans toutes les localités de la Province.

L’Honorable Abel Gashatsi a clôturé son allocution en suggérant une auto-évaluation mensuelle chacun en ce qui le concerne pour faire face au défis rencontrés et arrêter des nouvelles stratégies de développement afin de répondre au souhait de Son Excellence Evariste Ndayishimiye, Président de la République, qui stipule : » Que chaque bouche ait à manger et chaque poche de l’argent ».