Porté par Son Excellence monsieur le Président de la République, le Flambeau de la paix a illuminé samedi 27 novembre 2021 les travaux d’extension des bureaux de l’Assemblée nationale. Sous une pluie fine qui augure la bénédiction, le Général-Major Evariste Ndayishimiye en tête de la caravane du Flambeau de la paix a mélangé du ciment et du moellon en vue de fabriquer le béton qui a été aussitôt acheminé en chaîne pour cimenter la dalle de cet immeuble en étage. Après avoir prêté main-forte, le Numéro Un de l’exécutif burundais a également apporté sa pierre à cette édifice à raison des sacs de ciment et fers à béton.
Ces bureaux seront inaugurés au début de l’an 2022, a espéré le Président de l’Assemblée nationale qui s’est d’emblée réjoui du niveau combien satisfaisant auquel arrive le bâtiment. C’est une preuve irréfutable que les Burundais sommes capables. C’est d’ailleurs le slogan du Gouvernement responsable et laborieux qui a placé le travail parmi les priorités des priorités. Ce chantier est une façon de matérialiser cette maxime.
Grace à sa détermination, l’Assemblée nationale a ambitionné ce projet-phare. Dieu aidant, le rêve est en train de devenir réalité. Tout en reconnaissant que le chemin était plein d’embuches, le Très Honorable Gelase Daniel Ndabirabe a saisi l’occasion de remercier à haute et intelligible voix tous ceux qui ont tendu une main à l’Assemblée nationale, spécialement la présidence de la République qui avait déjà contribué en octroyant des fers à béton. Outre les partenaires extérieurs, le Président de la chambre basse du parlement burundais a aussi salué la bravoure du personnel de l’Assemblée nationale qui a sacrifié son week-end pour se donner corps et âme à ce chantier. Le projet d’extension a été dicté par l’exiguïté des bureaux des députés et du personnel de l’Assemblée nationale.
Avant de clôturer son allocution, le Président de l’Assemblée nationale a recommandé le strict respect des mesures barrières de la covid-19 dont la nouvelle structure à plus de 60 facettes s’annonce plus meurtrière que jamais, selon les spécialistes de la santé. Le Burundi a été épargné, comparativement aux autres pays. Mais il ne faut pas croiser les bras. L’expérience a déjà montré que ce sont les voyageurs qui propagent la pandémie au pays.