Le jour de Pâques n’est pas un jour comme les autres, c’est un jour crucial pour l’humanité car les Chrétiens se souviennent que Jésus a vaincu la mort pour eux, signifiant la défaite de tout mal. Tels sont les propos du Président de l’Assemblée nationale, Très Honorable Gelase Daniel Ndabirabe, lors de la célébration de la Pâques à l’église du Rocher S.S.I où il s’est joint aux fidèles en compagnie de sa famille, le 31 mars 2024.
Abondant dans le même sens que le prédicateur du jour, Pasteur Denise Bucumi, qui s’est appuyée sur la lettre de Saint Paul aux Colossiens 1 : 15-23 pour parler de la personne de Jésus et de son œuvre, le Très Honorable Gelase Daniel a précisé que le mal vaincu par Jésus n’est pas nécessairement perceptible par nos sens. Il réside en l’homme et se manifeste par les actes maléfiques que l’homme ne cesse de commettre.
Il a ensuite invité les Chrétiens à une introspection, car ce mal que Jésus a vaincu est lié à la haine qui incite un individu à souhaiter du mal à son prochain.
Le Président de la Chambre basse du Parlement s’est dit profondément touché par l’amour de Jésus qui dépasse l’entendement. Cet amour a poussé Jésus à verser son sang pour les mêmes personnes qui le font souffrir, le cloue par leurs péchés. Toutefois, il a persévéré jusqu’à l’accomplissement de sa mission. La balle est alors dans le camp des Chrétiens. C’est à eux de croire en l’œuvre du Christ afin de recevoir le salut.
Le souhait du Très Honorable Président de l’Assemblée nationale est que cette résurrection du Christ puisse aider tout un chacun à se détourner de tout mal et à renouer ses liens avec Dieu qui jadis avaient été coupés par l’entrée du péché dans le monde.
Que ce jour de Pâques soit une occasion pour les burundais de changer leur mode de vie. Comme l’a dit le Maire de la Ville de Bujumbura, la propreté de la ville devrait être une préoccupation majeure de plus d’un. Cette nécessité, parmi d’autres, est indispensable à la réalisation de la vision 2040 : le Burundi, un pays émergent et 2060, le Burundi, un pays développé, a martelé le Président de l’Assemblée nationale.
En conclusion, il a exhorté les burundais à ne plus se rebeller contre Dieu mais plutôt à lui obéir.
