Le capital humain joue un rôle crucial dans la croissance économique, et chaque burundais doit s’acquitter d’un prix pour réaliser la vision du gouvernement burundais : faire du Burundi un pays en voie émergent d’ici 2040 et développé d’ici 2060. Ces paroles ont été prononcées par le Très Honorable Gélase Daniel Ndabirabe lors du culte dominical du 18 février 2024 à l’église Israel Church Burundi, en présence de certains députés.
Convaincu que cette vision exige un sacrifice, il souligne que ce prix doit être enraciné dans la piété. Il ne s’agit pas d’un combat facile, mais plutôt d’une lutte de longue haleine. Il appel chacun à fournir des efforts considérables dans son domaine afin d’atteindre cet objectif d’ici 2060.
Au lieu de nourrir des ressentiments envers ceux qui possèdent ce que nous n’avons pas, il serait préférable de nous entraider, a recommandé le Très Honorable Gelase Daniel Ndabirabe. C’est aussi le prix à payer. Le peuple burundais, a-t-il souhaité, devrait atteindre un niveau où chacun est prêt à se sacrifier pour le bien-être de son prochain.
En conclusion, le Président de la Chambre basse du Parlement affirme qu’il est prêt à tout mettre en œuvre pour accomplir la volonté de ses électeurs, à condition que celle-ci soit en accord avec la volonté divine. Il précise que mourir en réalisant la volonté de Dieu conduit directement à la vie éternelle, un but auquel chaque individu devrait aspirer.
