Reconnaître que le mal réside en notre for intérieur, être conscient de notre alliance avec Dieu et espérer que Jésus-Christ nous purifiera, telles sont les trois alternatives pour vaincre le mal. C’est une analyse du Président de l’Assemblée nationale, dimanche, le 10 avril 2022 chez Israël Church Burundi, ICB en sigle qui fêtait la Sainte Cène.
Le Très Honorable Gelase Daniel Ndabirabe a tenu ces propos comme pour élucider la cohabitation entre Dieu et Satan, c’est -à-dire le bien et le mal dans le for intérieur de chaque être humain. Satan semble l’emporter alors que nous sommes liés à Dieu par une alliance. Ce paradoxe est-il imputable à la nature humaine ? S’est- il interrogé avant d’apporter une autre réflexion. Les gens placent derrière eux la Croix de Jésus. Cette Croix et la caravane du chemin de la croix sont pourtant réelles. Elles se trouvent parmi nous
Dans l’optique d’alléger justement cette croix de Jésus -Christ durant cette période de carême, le Président de la Chambre basse du Parlement burundais propose en guise de contribution, d’abandonner le mal.
Jésus Christ, notre icône, sur la croix, a demandé à Dieu son Père le pardon pour ses bourreaux qui ne savaient pas ce qu’ils faisaient. Avec cette phrase, Jésus-Christ venait d’accomplir la mission de sauver l’humanité.
Mourir sur la croix, être mis en terre et ressusciter le 3e jour, ce Jésus-Christ qui a franchi toutes ces étapes est en nous. La résurrection de Jésus-Christ doit coïncider avec la nôtre. En attendant, nous devons continuer à prier tout en changeant de mentalité, non pas en copiant sur les autres mais en opérant notre propre prospection.